Une nouvelle avancée dans la compréhension de l’obésité

Plusieurs centaines de régions du génome augmentant le risque d’obésité commune ont été identifiés jusqu’à aujourd’hui. Par ailleurs, environ 5% des patients obèses en France ont une forme « rare » d’obésité dite monogénique car l’anomalie d’un seul gène y est suffisante pour conduire à des troubles majeurs de l’appétit et à une obésité sévère à début souvent très précoce. Des chercheurs lillois de l’UMR8199 du LabEx EGID dirigés par le Dr Amélie Bonnefond (Université de Lille – Inserm – CHU Lille – Institut Pasteur de Lille) et par le Professeur Philippe Froguel (Université de Lille, CNRS, CHU de Lille, Institut Pasteur de Lille) viennent de découvrir une nouvelle forme d’obésité monogénique qui a la caractéristique unique de conduire à un diabète et à une hypertension précoce . L’identification de ce gêne ouvre des perspectives diagnostiques et thérapeutiques.

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